lundi 26 juillet 2010

Pascal Robaglia vend la peinture d’ Isa Sator avec bonheur et gourmandise.


« La puissance de sa peinture ne se laisse pas saisir d’emblée. Certes, elle peut paraître facile d’accès sous ses flots de couleurs et sa fausse naïveté. Incroyablement douée, dotée d’une impulsion créatrice sans limite l’artiste invente un langage qui est à la jonction de ce que - et par ordre chronologique - Nolde, Cocteau, Masson, Joëlle de La Casinière et Basquiat ont créé. Tentez le mixte de ces 4 influences et vous obtenez le travail particulier, impulsif et impétueux de la jeune coloriste et dessinatrice du monde tel qu’il est dans ses chamarrures, ses beautés et tout ce que cela cache. Car il faut savoir décoder la jouvence de Sator Isa. Son alacrité est non une façade mais un moyen de faire sourdre de la beauté et de la joie d'un cri de détresse. Son « Strip-Tease Bolero » est l’exemple parfait d’une œuvre aussi joyeuse et érotique que sourdement désespérée. On reçoit le corps ouvert en pleine face, comme l’artiste l’a créé : « sur le vif » et dans la violence des lumières et de l ’exhibition. Mais celle-ci est autant appel, projection, émotion que sourdement répulsion non de la femme mais du spectacle auquel elle est réduite. La peinture outrepasse cet état non dans le misérabilisme mais le baroque et la feinte exhibition de la monstration. »

Jean-Paul Gavars-Perret



samedi 24 juillet 2010

La figura-synthèse.




En 1960, le peintre Edgar Stoebel, artiste important de la galerie de Pascal Robaglia , invente son écriture propre : la « Figura-synthèse ».

Il s’agit de l ’image que l’on se fait d’un objet et non de l ’objet dans sa forme telle qu’elle nous apparaît : elle est subjectivée et ne représente plus qu’une forme irréelle sur tous les plans.
Le rapport des formes entre elles constitue la « Figura-synthèse ».


Pascal Robaglia a beaucoup œuvré pour imposer cette vision artistique d’Edgar Stoebel

vendredi 23 juillet 2010

Pascal Robaglia promeut l'Art contemporain

Pascal Robaglia a créé sa galerie d’art en 1992 dans un petit penthouse à Neuilly-sur Seine où il vivait avec sa famille.

Rapidement l’affaire s’est développée et la galerie s’est installée à Paris, rue du faubourg Saint-Honoré ainsi qu’au Vésinet où la famille de Pascal Robaglia s’est installée il y a une quinzaine d’années.

La galerie promeut l’art moderne et contemporain français, notamment au travers de sa participation à de nombreuses foires, comme Affordable Art Fairs à Paris, Bruxelles, Amsterdam, Londres, Sydney ou New-york, le salon des Tuileries à Paris, Eurantica à Bruxelles ou le Prestige des galeries d’art de la porte Maillot de Paris.

Pascal Robaglia soutient ses peintres « fétiches », Juliette Clovis, Lionel Sourisseau, Ma Qun, Edgar Stoebel, Dominique Albertelli ou Jan Eckiert.

La galerie de Pascal Robaglia expose également de nombreux peintres reconnus comme Georges Mathieu, André Lanskoy, Robert Combas, André Lhote, Emile Othon-Friesz, Armand Guillaumin, Francis Picabia et bien d’autres.

Pascal Robaglia retrouvera sa clientèle dès la rentrée au palais des congrès de la porte Maillot du 10 au 20 septembre prochain